En octobre 2025 : L'enfant des cèdres
Durée : 1 heure
Tout public
A partir de 6 ans

Notre projet de spectacle
Note d’intention : L’enfant des cèdres de Désirée Sadek Aziz
Dans les montagnes du Liban, à quelques lieues des ravages de la guerre, Nabil, un petit berger aux yeux bleus, sème sans relâche.
Dans la terre aride, il plante des graines de cèdres, emblème de ce pays aux racines millénaires.
Avec une patience infinie, il veille sur ces petits arbres, les protégeant comme un trésor.
Ce conte, inspiré de la vie de Youssef Tawk, médecin, qui a fait du reboisement des montagnes de son enfance, sa priorité est un hymne au courage et aux vraies valeurs de la vie. Il montre l’importance des actions même dérisoires qui peuvent changer l’environnement.
Cette histoire permet également de parler autrement de la guerre au Liban qui redevient d’actualité aujourd’hui.
C’est en visionnant sur Arte le reportage « La bataille du cèdre » de Laurent Sorcelle où il était question de ce conte que je décidais de contacter Désirée Sadek, autrice de ce conte.
Cette journaliste, éditrice et fondatrice de l’ONG « Comité international pour la sauvegarde du cèdre du Liban » m’a immédiatement encouragé dans cette initiative.
Ce conte philosophique et écologique m’a bouleversé. C’est un plaidoyer pour la sauvegarde de la dernière forêt millénaire mais également pour toutes les forêts du monde. Il est aussi une leçon pour tous et un formidable message d’espoir.
Pour le dispositif scénographique, une comédienne jouera le rôle de conteuse.
Un musicien créera en direct une ambiance, des sons, une musique qui nous emmènera dans la forêt de Bcharré au Liban
Pour créer ce spectacle, nous avons décidé de s’associer avec une école pour sensibiliser les plus jeunes aux méfaits de la déforestation et de les faire réfléchir à partir de dessins qu’ils auront créés.
Ces dessins seront projetés sur des écrans en papier et qui serviront de décor au spectacle.
« Je regardais le petit, son père, toute cette montagne recouverte de cèdres et je me dis que non, le Liban n’avait rien à craindre. Si certains hommes savaient détruire, d’autres étaient là pour veiller à la valeur des choses. Et qu’importe le nombre quant il suffit de deux mains pour enraciner un pays. » Désirée Sadek : L’enfant des cèdres
Régis Rey
